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samedi 1 février 2020

Le fondateur de Citroën est juif !


André Citroën  :
André Citroën est une figure incontournable de l’automobile . Né dans une famille juive , son père était un diamantaire néerlandais et sa mère originaire de Varsovie en Pologne. 
Il est à l’origine de l’empire automobile du même nom. 
Sa notoriété et son influence ont dépassé largement les frontières françaises.  Les méthodes de production et de marketing à grande échelle qu’il inventa ont complètement révolutionné l’industrie de l’automobile. 
Brillamment diplômé de l’école Polytechnique , il fut un homme exceptionnelle tout au long de sa carrière .
Il décède le 3 juillet 1935 à l’age de 57 ans


vendredi 31 janvier 2020

Pas content du tout Michel SARDOU.. !


PAS CONTENT DU TOUT, MICHEL SARDOU, MAIS SON RAISONNEMENT TIENT LA ROUTE !!! 
"Si les ricains n'étaient pas là...."
SARDOU, il ne fait pas dans la dentelle !

Je suis laïc !
Moi, l’Islam, je m’en tape le coquillard…

Je me contrefiche des hadiths, des sourates et autres corâneries.
Ça ne m’intéresse pas de savoir s’il y a des musulmans pas vraiment islamistes,
mais un peu islamiques, des islamistes modérés fréquentables,
des immodérés franchement antisémites, des islamiques plus ou moins pratiquants, etc., etc.

Ce qui est en jeu aujourd’hui est simple, beaucoup plus simple :
La France est colonisée par des gens d’origines diverses,
on assiste à une destruction de notre civilisation, par une et d'autres cultures qui sont allogènes,
contraires à nos mœurs, nos visions du monde et de l’homme, nos valeurs, nos habitudes, notre histoire…

Quel peuple accepterait ça sans broncher ?
Donc le message est simple :
Ces cultures allogènes, on n’en veut pas !
On ne veut pas de leur religion, on ne veut pas de leurs valeurs,
on ne veut pas de leurs mœurs, on ne veut pas de leur vision du monde.

On ne veut pas que la France devienne un pays du tiers monde.
On ne veut pas que ces valeurs importées s’installent en France
et changent notre vie et notre avenir.

On n’en veut pas des mafias chinoises qui découpent les récalcitrants au hachoir.

On n’en veut pas des Africains polygames qui excisent leurs filles,
pompent la sécu et les aides sociales, profitent du système sans rien apporter.

On n’en veut pas des maquereaux roumains, albanais ou africains
qui mettent sur le trottoir des gamines
et leur cassent les jambes à coup de barre de fer si elles bougent un cil.

On n’en veut pas des vrais-faux mendiants ou je ne sais pas quoi,
qui font chier tout le monde, profitent allègrement du système
et pleurnichent dans les jupes des associations à la con.

On n’en veut pas des types qui sous prétexte qu’ils sont d’origine maghrébine
cassent, pillent, violent, brûlent, trafiquent la poudre, les bagnoles, les armes…
quand ils ne s’engagent pas dans des groupes terroristes
et partent s’entraîner au Pakistan ou ailleurs…

Qu’ils quittent la France s’ils ne l’aiment pas : on ne les retient pas.
On en a marre de voir des Blancs, toujours des Blancs,
assassinés pour une cigarette refusée, une aile froissée, une querelle de voisinage…

On en a marre de voir des drapeaux palestiniens ou autre dans les manifs à Paris,
et d’entendre des manifestants hurler des slogans anti-sémites
et soutenir les pires racailles terroristes du Proche-Orient,
la dernière fois que nous avons entendu "mort aux Juifs" c’était sous l’occupation allemandes en 1941…

On n’en veut pas des mosquées, des imams payés par l’Algérie, le Maroc, l’Arabie Saoudite,
qui passent leur temps à organiser le communautarisme, financent des groupes terroristes,
planifient la destruction de notre civilisation,
tiennent des discours ouvertement racistes, antisémites, anti-blancs, anti-occidentaux, et jouent aux « gentils » biens intégrés.

On n’en veut pas de pseudo « sans papiers » qui viennent chier dans nos églises et ne savent qu’exiger des droits qu’ils n’ont pas,
font semblant de faire une grève de la faim et obtiennent tout et n’importe quoi …

On n’en veut pas des filles voilées à tous les coins de rue, à l’école, à la piscine, dans le métro.
On n’en veut pas des cantines scolaires qui bannissent le porc pour ne pas déranger les pauvres élèves musulmans.
On n’en veut pas des gamins qui exigent qu’on réécrive les cours d’histoire au collège parce que ça ne leur plaît pas qu’on parle de la Shoah !!…

On en a marre des mensonges permanents sur l’Histoire, l’Église, l’esclavage, la colonisation…
qui ne servent qu’à demander toujours plus : plus de droits, plus de pognon, plus d’aides.

On en a marre de payer des impôts pour ce que devient ce pays, la France...
On en a marre de faire repentance à tout bout de champ pour tout et son contraire.
On n’en veut pas des quartiers qui se délabrent et se tiers-mondialisent au rythme de l’arrivée des étrangers.

On n’en veut pas du racisme anti-blanc, des vexations, du racket, des marchés louches à même le trottoir, des lois pas appliquées, de l’interdiction de critiquer l’islam, des associations « antiracistes ».

On a quand même le droit, non ?
Alors, l’islam est peut-être une religion super, cool, « world », new age et branchée,
mais voilà la vérité : ON N’EN VEUT PAS !

> > > > On ne veut pas de l’islam et de la culture arabo-musulmane !
On ne veut pas de la tiers-mondialisation en France !
En matière de culture, de civilisation, de valeurs, de religion, on a déjà ce qu’il faut en magasin, tu vois, et on n’a pas envie de changer.
Clair ?

ERIC ZEMMOUR EST DANS LE VRAI ACTUELLEMENT, MALGRÉ LA POLÉMIQUE !

On nous met au défi de faire circuler ce texte !

Pour les Français, le train de l'Histoire arrive PEU à PEU à son terminus. C'est fini. 
Il faut ramasser ses bagages et se préparer à descendre.

Quand la Seine Saint-Denis a commencé à pourrir, les Français de Souche ont quitté la Seine Saint-Denis transformée depuis en coupe-gorge.
De la même manière, ils quittent certains quartiers de Lille, Marseille, Roubaix, les quartiers nord de Paris.

Progressivement, viendra le jour où changer de ville ne résoudra pas le problème.
Il faudra alors s'écraser ou bien quitter le pays.
Peu à peu, le Français de souche se fait remplacer et il est heureux !!!
Il regarde béatement sa Nation partir dans le tout à l'égout mais il est content........
Dans la nature, quand un animal est blessé, les rapaces viennent de partout.

Par leurs impôts, les Français financent les logements, la nourriture et les soins de ceux qui sont en train de les remplacer.
Quand il n'y aura plus assez de travailleurs pour payer les impôts, ça sera le chaos et la violence.
Pour son immigration, la France a particulièrement choisi des populations incapables de gagner ou de produire ne serait-ce que "leur pain quotidien".

Et comme disait Vladimir Poutine :
La France va devenir la colonie de ses anciennes colonies !

SEULEMENT 30% DES FRANÇAIS DE SOUCHE
VONT FAIRE CIRCULER CE TEXTE
SANS AVOIR MAUVAISE CONSCIENCE.
CE DEVRAIT ÊTRE 100 % !!!
LE FEREZ-VOUS ?

Sauvons le cimetière du BORGEL...Tunisie !


Chers Amis
 
LE BORGEL BEITH HAIM EST LE LIVRE DE LA MEMOIRE DES JUIFS DE TUNIS ET CHAQUE TOMBE EN EST UNE PAGE
 
Un projet nommé
REBI
Rénovation Entretiens Borgel Israelite
CLIN D’ŒIL A REBI HAI TAIEB ET TOUS LES GRANDS REBI QUI REPOSENT AU BORGEL
 
Qui avait été entrepris il y a près de vingt ans et qui malheureusement avait du être abandonné après deux années d’un intense travail ayant donné de très bons résultats faute de soutien, vient d’être relancé à l’initiative de Marc Fellous, Jo Krief, Bernard Allali et Pierre Mamou.
Ce travail ne pourra être réalisé qu’avec votre soutien
Nous espérons pouvoir nettoyer, entretenir, et sauver ce vaste cimetière à l’abandon depuis plusieurs dizaines d’années et où des menaces de destructions planent sur ce lieu sacré où reposent près de 20.000 de nos ancêtres décédés à Tunis. En effet les autorités pourraient procéder à une expropriation pour cause de lieu à l’état d’abandon.
Nous devons avant toute chose nettoyer, désherber, couper les arbres poussés sauvagement pour redonner un aspect de lieu entretenu et surtout permettre d’accéder aux tombes qui sont souvent inaccessibles. Pour cela une équipe de minimum dix ouvriers employés à plein temps est nécessaire. Cette équipe sera sous contrôle d’un responsable, le tout supervisé par Jo Krief qui en a déjà l’expérience.
Nous avons déjà pu localiser partiellement l’emplacement des tombes. 
Un travail effectué il y a plus de vingt ans à l’initiative privée de  Marc Fellous avec la collaboration de Henda gardienne du cimetière et mémoire vivante de ce lieu.
Ce travail a été complété par le travail de Jo Krief (entretiens et photos) ainsi qu’une équipe de l’AICJT venue travailler sur place et la collaboration de Habib Kazdaghli recteur de l’université de la Manouba et de son équipe d’étudiants concernés par l’histoire des juifs de Tunisie qui y ont effectué un travail scientifique de relevé et de recherche historique.
Un travail très important a été entrepris il y a quelques années par Bernard Allali qui photographie le Borgel tombe par tombe et ce de sa propre initiative, travail titanesque.
Il faut que ce travail soit complété par la restauration des tombes et ce incombe aux personnes ayant des parents qui reposent au Borgel.
Pour cela il faut nous envoyer les noms prénoms et date de décès des personnes, nous vous enverrons une photo montrant l’état actuel des sépultures. 
En fonction de cet état un devis précis vous sera adressé et si votre désir est toujours de procéder à la rénovation de ou des tombes de vos parents,
Il vous suffira d’envoyer ce montant au compte AICJT selon les indications indiquées plus loin. 
A votre demande il vous sera remis un reçu CERFA qui vous permettra d’obtenir le dégrèvement habituel dans votre déclaration d’impôt.
Notre association est à but non lucratif, nous sommes tous bénévoles a 100%.
Concernant l’entretien et nettoyage du Borgel, un budget de 30.000 euros annuel est estimé.
100% des sommes reçues seront utilisées pour le Borgel, tous les membres de l’AICJT et participant à ce projet sont bénévoles
Un détail précis de ce budget peut vous être envoyé à votre demande.
Nous avons donc besoin de votre participation et de votre aide pour sauver votre mémoire des juifs de Tunis.
Pour symboliser il faudrait 1000 juifs tunisiens qui participent à raison de 30 euros une fois par un an en faisant un don.
Tout ce travail se fera sous l’égide de L’ACJIT fondée
Marc FELLOUS (professeur de génétique à l’hôpital Cochin) et de son equipe, voir détail sur le web 
Merci d’adresser votre chèque pour la rénovation, l’entretien ou simplement le soutien à ce projet à : ASSOCIATION AICJT chez Mr Marc Fellous 3 rue Gracieuse 75005 Paris 
ou d’effectuer un virement au compte bancaire suivant 
Association ACIJT
chez Mr Fellous Marc 3 rue Gracieuse 75005 Paris
RIB   30004   01763   00010079542   50   BNP PARIBAS LUTECE  (01763)
IBAN   FR76  3000   4017   6300   0100   7954  250        
BIC BNPAFRPPXXX
ou me l’adresser directement à Bernard ALLALI 10, rue du Rendez-vous 75012 Paris. Surtout libeller le chèque à l’ordre de AICJT
je transmettais au trésorier. 
 
 
Merci à tous, Cordialement
 
Marc Fellous:      marcfellous1@orange.fr
Jo Krief:              jikajohnconfirm@gmail.com
Bernard Allali:     bernard.allali@gmail.com
Pierre Mamou:    pierre.mamou@pappopaulin.com
Marc Djebali:      marc.djebali@orange.fr
  Guy Azria :       guy.voyages@wanadoo.fr

jeudi 30 janvier 2020

Lettre ouverte à ceux qui me donnent la Nausée..Par . Frank Khalifa !


Il n’est pas coutume pour moi d’endosser le rôle d’Antoine Roquentin pour des raisons évidentes de désaccord profond avec l’existentialisme sartrien mais force est de constater que le spectacle actuel « vous tourne le cœur et tout se met à flotter… : voilà, la Nausée ».

Oui, nous sommes dans la Société du spectacle que Guy Debord décrivait comme « le lieu du regard abusé et de la fausse conscience ; et l’unification qu’il accomplit n’est rien d’autre qu’un langage officiel de la séparation généralisée ». Vous vous demandez peut-être à quoi je fais allusion.
Patience, j’y arrive car l’accroche est un exercice périlleux. Laissez-moi vous conduire vers l’ignominie du spectacle auquel j’assiste. Il faut prendre son bâton de pèlerin pour déconstruire la perfidie des évènements et débats actuels.
Commençons par l’événement le plus important de ces derniers jours : La commémoration de la Shoah à Jérusalem le Jeudi 23 janvier 2020. Jusque-là très bien. Mais voilà, nonobstant les bouderies de la gouvernance polonaise, l’hypocrisie dégoulinante de la présidence française qui ne cite jamais l’Iran et la volonté des mollahs de rayer Israël de la carte du monde, les larmes de crocodile de la couronne d’Angleterre et sa responsabilité dans la création du faux royaume hachémite et le cynisme de la Russie alliée de l’axe irano-syrien, Auschwitz vient d’être sacralisé. Auschwitz vient d’être ritualisé. Auschwitz vient d’être instrumentalisé. Auschwitz vient d’être magifié. Auschwitz vient d’être paganisé…
La Tannhäuser de Wagner aurait-il pris le pas sur le « murmure divin du zéphyr » de la théophanie d’Elie devant le mont Horeb ? A D. ieu ne plaise !
Comme le dit Levinas, « La vérité qui devrait réconcilier les personnes, existe ici anonymement. L’universalité se présente comme impersonnelle et il y a là une autre inhumanité ». Très bien ! On a fait le grand show à tel point que tout le monde, amis d’un jour, se congratule et que même les responsables communautaires du judaïsme français, grisés par l’évènement tant ils sont plongés dans leur vision pseudo-messianique, en arrivent à minimiser les propos inqualifiables et qui relèvent du cabotinage lors de la visite de la dernière colonie française en Israël : Saint-Anne.
Mais, de quoi parle-t-on ? Vous savez ce qu’est Auschwitz ? Auschwitz n’est pas Hiroshima qui fut une atrocité. Auschwitz n’est pas le bombardement de Dresde qui fut une autre atrocité. Auschwitz n’est pas le fruit d’une technique militaire. Auschwitz n’a rien à voir avec les pogromes. Auschwitz n’est pas un génocide à chaud comme les génocides atroces des arméniens et tutsis. Auschwitz n’est pas l’horrible et indicible esclavage des noirs. Auschwitz, c’est l’échec bimillénaire de la civilisation occidentale.
Auschwitz c’est le génocide à froid organisé dans le silence complice du monde pour amener la victime décharnée et déshumanisée vers l’autel du bourreau. De l’esclavage est sorti une « race » d’hommes libres. De Auschwitz n’est sortie que de la chair des chambres à gaz et la cendre de la fumée des crématoires… Tout le monde savait et tout le monde se taisait. Vous sentez peut-être à quoi je veux en venir ? Pas encore ? Alors laissez-moi encore quelques lignes pour vous faire toucher du doigt les racines de l’antisémitisme et de l’antisionisme.
L’antisémitisme c’est d’abord, de l’ordre de la responsabilité ecclésiastique qui, pendant des siècles, des millénaires, s’est fait l’acteur zélé ou insidieux de l’enseignement du mépris et de la calomnie théologique permettant un continuum historique « si non une transformation des âmes, du moins à une modification des conduites » comme l’écrivit le regretté Raphaël Draï. Vous n’êtes pas encore convaincu ? Alors lisez-plutôt.
Au 16ième siècle, lorsque la « guerre » éclate entre Luther et le Pape, les chefs juifs protégés par la papauté se rangent derrière cette dernière ce qui provoque l’ire de Luther.
Il écrit en 1543 un traité de 65 000 mots, intitulé « Des Juifs et leurs mensonges »[1].
En effet, Luther écrit que les Juifs sont un « peuple de débauche, c’est-à-dire pas des gens de Dieu, et que leurs fanfaronnades sur leur lignage, la circoncision et leurs lois doivent être considérées comme une cochonnerie… Ils sont remplis d’excréments du diable…, dans lesquels ils se vautrent comme des pourceaux…
Quant à la synagogue, c’est une putain incorrigible et une souillure du diable ». Il soutient que « leurs synagogues et leurs écoles doivent être brûlées, leurs livres de prières détruits, leurs rabbins interdits d’officier, les hommes rasés, et leurs biens et argents confisqués.
On ne doit montrer à leur égard aucune pitié ni aucune bonté, ne leur procurer aucune protection légale, et ces « vers venimeux et vénéneux » doivent être punis de travaux forcés ou expulsés une fois pour toutes. Il semble aussi recommander leur meurtre quand il écrit : « Nous sommes fautifs de ne pas les tuer ».
Quatre cents ans après sa parution, les nazis devaient afficher publiquement « Von den Jüden und iren Lügen » lors des manifestations de Nuremberg, prestigieuse cité médiévale qu’Hitler, devenu chancelier en 1933, avait choisie pour y tenir chaque année les congrès du part nazi, le NSDAP : Le national-socialisme !
Je vais donc poursuivre en essayant de ne pas commettre un raccourci trop rapide.
Quel est le lien entre le nazisme et l’islamo-nazisme et son grand porte-voix, l’islamo-gauchisme ? Ben, il faut lire les enfants !
Enfants de tous pays et de toutes confessions ou athées, il faut étudier !
Alors, je vous fais grâce du grand mufti de Jérusalem, allié d’Hitler et père des frères musulmans ayant pignon aujourd’hui sur la rue française. Je vous fais grâce des décapiteurs du Califat n’ayant pas fait l’objet d’un procès de Nuremberg pour crimes contre l’humanité pour que le sang de tous ces innocents musulmans, chrétiens, yésidis, soufistes et autres s’arrête de bouillonner.
Je vous fais grâce des attentats nazi-islamistes qui ont ensanglanté la France et l’Europe. Je vous fais grâce du retour des milliers de djihadistes en France et en Europe.
Juste lisez attentivement ce qui suit, sans faire l’apologie du racisme !
Le 11 février 624, le prophète Mahomet rompt avec les tribus juives de Médine en choisissant de prier non plus vers Jérusalem mais vers La Mecque tout comme Paul de Tarse dit Saint Paul, figure centrale du christianisme moderne, s’était fixé, au premier siècle, la mission principale de convertir les gentils et de les couper définitivement de leurs racines juives (mission réussie !). Mahomet décide d’en finir avec les juifs de la troisième et dernière tribu de Médine, les Banu-Kuraiza.
Les musulmans décapitent 600 à 700 hommes et les ensevelissent dans une grande fosse de la place du marché de Médine. Ils se partagent les biens de la tribu, ainsi que les femmes et les enfants tout comme Safiyya, une juive de Khaybar, elle aussi, une prise de guerre que Mahomet prit comme épouse après avoir fait torturer et tuer son mari Kinânah
Je n’ai absolument aucun a priori raciste vis-à-vis du monde musulman ni du monde chrétien. Je vous ai amené sur les passerelles de l’antisémitisme et de l’antisionisme. Mais il est un fait que le Coran est étudié sur le sol français et qu’on ne peut laisser se diffuser les thèses salafistes prêchant un islam radical dans toutes les strates du monde musulman et notamment dans les prisons.
Lorsque j’ai essayé d’écouter la parodie de soirée sur l’antisémitisme sur France 2 mardi 28 janvier 2020 avec des invités incapables, soit par inculture soit par soumission au pouvoir politique, de coller un mot sur les racines de l’antisémitisme et de l’antisionisme, oui j’ai eu la Nausée.
Personne n’a été capable d’avoir souvenance (ils ne les ont jamais lus ! Lol !) des passages suivants du Coran tirés de la Sourate 2 dite sourate de La Vache, de la Sourate 4 dite Sourate Les femmes, verset 89 et de la Sourate 98 dite sourate de La preuve, verset 6: Et tuez-les, (ceux qui font la guerre contre vous) où que vous les rencontriez. Et chassez-les d’où ils vous ont chassés (de la Mecque) : l’association est plus grave (mauvais) que le meurtre. Mais ne les combattez pas près de la Mosquée sacrée avant qu’ils ne vous y aient combattus. S’ils vous y combattent, tuez-les donc. Ceci est le châtiment des mécréants… Et combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association et que la religion soit entièrement à Allah seul… Ils aimeraient vous voir mécréants comme ils sont mécréants : alors vous seriez tous égaux ! Ne prenez donc pas d’alliés parmi eux, jusqu’à ce qu’ils émigrent dans le sentier d’Allah. Mais s’ils tournent le dos, saisissez-les alors, et tuez-les où que vous les trouviez ; et ne prenez parmi eux ni allié ni secoureur, … Quant à ceux qui ont renié les enseignements parmi les gens du Livre et les mécréants, ils demeureront éternellement dans le feu de la géhenne. Ils forment la pire espèce de l’humanité…
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Frank Khalifa pour Dreuz.info.

Lois sur Tou Bichvat....

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Halakhot

  • Lois sur Tou Bichvat

    Halakha 1

    Il est écrit dans Avot de Rabbi Nathan que Rabbi Yohanan ben Zakaï avait l’habitude de dire : « si tu as une graine dans ta main et que quelqu’un te préviens que le messie est arrivé, reste là où tu es, plante la graine et, ensuite, tu peux partir en courant pour lui souhaiter la bienvenue ».
    Au temps de la Michna, le 15 du mois de Chvat n’était pas un jour de fête, mais plutôt un événement agricole marquant au cours duquel plusieurs Mitsvot (préceptes) liées à l’agriculture, devaient être accomplies. Par exemple, ce jour-là, les agriculteurs devaient payer la dîme aux Lévites et aux pauvres. Le douzième mois d’une année de dîme commençait et se terminait le 15 du mois de Chvat.

    Halakha 2

    Le 15 Chévat constitue
    a) le nouvel an des arbres,
    b) Tou Bichvat représente un moment de prières et de jugement, même pour l’arbre,
    c) ce nouvel an, inaugure le renouveau de la nature de la terre d’Israël où la sève monte dans les troncs des arbres qui entrent en fleur et embellissent le paysage.

    APHORISMES DE NOS SAGES

    La vie n’a pas besoin d’être si compliquée, agissez simplement et vous serez agréablement surpris.

Par le mérite des Tsadikim, qu’Hachem protège tout le Âm Israël, Amen

  •  Hiloulot 4 Shvat
    ?Rabbi Israël Abou’hatsérah z.t.l – Baba Salé, né en 1890 à Tafillalet au Maroc, décédé en 1984 en Israël. Abou’hatserah était une dynastie de rabbins très connus. Son grand-père était un célèbre tsadik, Rabbi Yaakov Abou’hatserah z.t.l. Il avait de grandes qualités dans l’interprétation Talmudique et nombreuses de ses décisions halakhiques étaient acceptés et ont été suivies par ses disciples. Il était considéré comme quelqu’un qui possédait le Roua’h Hakodech ou l’esprit divin ».
    ?Asher z.t.l Ben Yaakov Avinou  (d’autres pensent le 2 Shevat)
    ?Rabbi Ahaï bar Rav Houna de Rabanan Soveraï z.t.l, 506 CE
    ?Rabbi Acher Méïr Albersham z.t.l,
    ?Rabbi Abraham Aharon Yudelevitch z.t.l, né en 1850, décédé en 1930. Né à Novardok, en Russie, auteur de « Nir », célèbre commentaire sur le Talmud Yerushalmi.
    ?Rabbi Abraham Katz de Kalisk z.t.l, décédé en 1810. À l’origine un disciple du Gaon de Vilna z.t.l, il a été conseillé de visiter le Maggid de Mezritch z.t.l et est devenu par la suite son disciple. Ses prières ont été notées pour leur ferveur.
    ?Rabbi Abraham Elhadif z.t.l,
    ?Rabbi Arié Leib Sharhaus z.t.l, décédé en 1791.
    ?Rabbi Chaoul David HaCohen z.t.l, décédé en 1874. Un des grands rabbins d’Israël. Auteur du livre « Emet MiErets ».
    ?Rabbi Elimelekh  z.t.l, de Ozrov
    ?Rabbi Moché Leib de Sassov z.t.l, né en 1745, décédé en 1807. Moshe Leib z.t.l était un étudiant de Shmuel Shmelke de Nickolsburg z.t.l, Dov Beer (Maggid de Mezhirech) z.t.l, et Elimelekh de Lezhynsk z.t.l. Ses enseignements sont contenus dans les livres, Likutei RaMal, Torah Remal Hashalem et Chidushei Ramal.
    ?Rabbi Raphaël ‘Hayim Moché Ben Naïm z.t.l, né en 1845 à Haïfa, décédé en 1920. Il était le Rav de Gibraltar pendant 30 ans, et un des juges rabbiniques de Tibère. Auteur du livre « Peter Re’hem » et « Rakhamim Pechoutim ».
    ?Rabbi Yaakov Elazar Friedman z.t.l, décédé en 2002, fils de Rav Shlomo Zalman Friedman z.t.l, Rav de Rakoshegy en Hongrie. Il était un descendant du Shaarei Torah z.t.l, du Shemen Rokeach z.t.l, du Yeriat Shlomo z.t.l, du Ponim Meiros z.t.l, du Chacham Tzvi z.t.l, du Bach z.t.l, du Tosfot Yom Tov z.t.l, du Maharshal z.t.l et du Levush z.t.l.
    ?Rabbi Yisrael ‘Harif de Stanov z.t.l, auteur de Tiferet Israël, disciple du Baal Shem Tov.
    ?Rabbi Yits’hak Chimon Aphariat z.t.l, décédé en 1995.
    ?Rabbi Yechiel Yaakov Weinberg z.t.l, né en 1885, décédé en 1966, auteur de Seridei Aish. Un étudiant des Yéshivot Mir et Slabodka. Quand la Première Guerre mondiale a éclaté, il est allé en Allemagne et a étudié à l’université de Giessen, recevant un doctorat pour une thèse sur le texte masorectique. Il a ensuite enseigné et est devenu par la suite recteur du séminaire rabbinique de Berlin fondé par le rabbin Ezriel Hildeshimer z.t.l.
    *Allumez une bougie et par le mérite des Tsadikim, qu’Hachem protège tout le Âm Israël Amen*

Refoua Chelema et Réussite

  • Toutes les Halakhot sont dédiées à la protection et à la Réfoua Chéléma de tout le peuple d’Israël Amen et en particulier
      • Rav Kilav Chemla ben Shoulamit
      • Hervé Samuel Haim Ben Simha
      • Esther Bat Freha
      • Annaelle bat lea
      • Sarah bat Fortuné,
      • Annaël bat Esther
      • Eli Eliyahou Ben Victorine
      • Noam Yéhouda ben Yéhoudit
      • Ishaie Avraham Othniel ben Shmouel
      • Noam Yossef ben Shmouel
      • Maâyane Esther bat Shmouel
      • Hillel Chalom ben Shmouel
      • Nathan Israël Ben Yehoudit Berouria
    Amen

Léilouy Nichmat

  • De tous les défunts du âm Israël et en particulier
    • Yitshak ben Tsipora
    • Sarah Bat Rosa z.t.l.
    • Georges Yitshak Ben Hénéna ouben Chlomo z.t.l.
    • Gérard Guerchon Ben Yitshak
    • Fortuné Bat Camille Camouna
    • Tsipora bat Esther
    • Eliaou ben Freha Amoyal
    • Docteur Philippe Eliyahou Touitou z.t.l
    • חנה לינה בת לור לולה זל

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    Les Halakhot, Hilloulot, vidéos, et réponses aux interrogations que vous recevez quotidiennement, sont le fruit d’un très important travail de recherches, compilations, et grâce à D.ieu, font le tour du monde, par emails, whatsapp, Facebook, etc..
    Merci de soutenir et d’encourager ce travail en faisant un don, afin d’avoir le mérite d’y être associé et grâce a vous des milliers de personnes lisent ces Halakhot.
    Qu’Hachem vous bénisse et vous comble de bonheur Amen

    Vous pouvez dédier les Halakhot et Hilloulot

    ✅ A une personne chère
    ✅ A la guérison d’un proche
    ✅ A la protection des enfants
    ✅ A la réussite matérielle
    ✅Une aide pour trouver son âme soeur
    ✅ A la mémoire d’un défunt …
    Merci d’avance Chers Amis de soutenir mon travail ainsi que la diffusion de la Torah

    Merci d’avance Chers Amis de soutenir mon travail ainsi que la diffusion de la Torah

YOUNG PEREZ CHAMPION Par André NAHUM...


André NAHUM

André Nahum, médecin de profession, a non seulement écrit la biographie du champion de boxe tunisien Young Perez mais il en a profité pour faire œuvre de journaliste d'investigation en nous contant l’histoire souvent méconnue de la Tunisie juive, avec une incursion dans les relations judéo-arabes de l’époque. 

La misère était alors le lot de la majorité de la population juive, dans l’entre deux grandes guerres, vivant dans l’oukala, maison au patio commun ouvrant sur des  chambres qui hébergeaient chacune une famille entière. Avec le souci du détail, il décrit minutieusement la vie juive avec le bruit et les odeurs qui chatouillent les oreilles et les narines des lecteurs qui ont vécu ces souvenirs. Un régal pour ceux qui redécouvrent, tout au long du récit, les racines enfouies dans leur mémoire. 




Fenêtre sur la Tunisie



Le livre est une fenêtre sur la Tunisie, celle des «juifs pauvres qui peuplent la Hara, tandis que les riches, ou du moins les plus aisés, habitent les quartiers chics et envoient leurs enfants au Lycée Carnot, allant jusqu’à leur interdire de parler la langue de leurs grands-parents». Le livre fourmille d’anecdotes qui restent ancrées dans l’inconscient des Juifs tunisiens et qui resurgissent pour attiser la nostalgie d’un passé toujours vivant, malgré les années d’intégration en France.

Même ceux qui n’aiment pas la boxe trouveront un plaisir immense à rêver «le pain blanc et la boutargue, le bescouttou bel assel, les beignets et le cornet de frites» qui ont accompagné les enfants de plusieurs générations. L’auteur ne succombe pas à la facilité du folklore mais il veut expliquer l’ascension rapide d’un Juif, presque illettré, qui a grandi dans le quartier le plus pauvre de Tunis et qui ne voyait que dans la boxe le moyen de se sortir de la misère. Il avait vite compris qu'il ne pouvait réussir qu'en France.



Ascension rapide


Victor Young Perez


Impossible de ne pas faire une relation entre Young Perez qui pose les pieds à Marseille et le même épisode vécu par les Juifs tunisiens qui ont quitté leur terre natale, souvent dans l’urgence et dans le dénuement. Le lecteur s’identifiera aux premiers pas de Young Perez à Paris, avec les inévitables crises de nostalgie et les inquiétudes d’un déracinement à la fois familial et culturel.

Son ascension démarra le 24 octobre 1931, date du championnat du monde, et sa victoire symbolisait la victoire du petit peuple de Tunisie car «le quartier juif redressait la tête. Le titre suprême de Young Perez les ennoblissait, leur rendait leur dignité. Revanche du ghetto qui se sentait pour une fois à l’égal des Français.»

Après avoir déambulé dans la Tunisie du passé, l’histoire se précipite et puis tout va très vite, les honneurs, l’argent et l’illusion d’un avenir figé dans la gloire. Cependant «Le riche champion n’oublie pas d’où il vient, de la pauvreté et de l’entraide, il a toujours la main dans le porte-monnaie, à distribuer sa manne». L’enfant des souks n’aura jamais honte de son passé mais la richesse semble l’éloigner du bonheur qu’il a pourtant connu dans sa petite vie étriquée à la Hara. Alors, il se ruine pour le retrouver, en vain.
Jean Gabin et Mireille Balin

C'est en France qu'il a rencontré son mauvais génie, l’actrice Mireille Balin à ses débuts, qui lui fera perdre ses moyens psychiques et physiques et une grande partie de sa fortune. Young Perez en était tombé follement amoureux  mais il n'avait pas compris qu'ils n'étaient pas du même monde, même si l’argent pouvait arranger les choses. 
Puis le récit est mené tambour battant, crescendo vers la dérive et le drame que le lecteur semble percevoir au fil des pages et qui se noue devant ses yeux. Il ne comprendra rien à la montée du nazisme. Ruiné, ses besoins d'argent le conduiront à tout accepter jusqu'à commettre la folie de se rendre à Berlin, en novembre 1938, en plein pogrom nazi, pour ce qui sera le dernier match de boxe de sa carrière. 

Revenu à Paris il n'évalua pas le danger de l'occupation nazie et, imprudent et sûr de ses capacités, il ne rentra pas à Tunis où sa sécurité était pourtant assurée. Il garda l'espoir de reconquérir celle pour qui il a tout sacrifié. L’inconscience de son succès rapide ou de son jeune âge le mènera à ne pas évaluer le risque encouru alors que tous ses proches avaient mesuré le danger et avaient quitté le pays. Dès lors, son sort était définitivement scellé et il connaitra un dénouement tragique.

2 commentaires:

Kacem NAKAA a dit…
J'ai connu Kid Perez qui était ou son jeune frère ou un cousin qui dirigeait la salle de l'Alliance Française .

Il a managé les plus grands boxeurs tunisiens. Omrane Sadok ,Tahar Belhassen et Azouz qui a eu la malchance de boxer dans le même poids que Felix Brami
André NAHUM a dit…
Merci, mille fois merci cher Jacques Benillouche pour ce magnifique article.!
Vous m'avez parfaitement compris et vous avez su merveilleusement l'exprimer.
Comme tous les Juifs de Tunisie, comme tous les exilés, ce n'est pas la Tunisie qui me rend nostalgique, c'est ma communauté, c'est mon peuple.
Ces petites gens, je les ai bien connus, je les ai soignés et je les ai aimés et ils me l'ont bien rendus
Mon père est né parmi eux
Aujourd'hui ils sont éparpillés à travers le monde et notre parler, notre mode de vie, notre solidarité ont disparu à tout jamais.
Certes, ils ont souvent merveilleusement réussi en Israél en France en Amérique, mais à part ceux qui comme vous ont eu le courage de faire leur alyah, ils ont perdu, nous avons perdu , notre âme.
C'est pour cela que j'ai écrit une douzaine de livres.
Young Perez, nous a révélé que nous étions des Hommes, et que nous pouvions devenir grands. Son exemple nous rappelle aussi hélas que nous sommes toujours menacés...
Très affectueusement
André Nahum

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