Comme il était prévisible, les réactions de certains pays à l’annonce faite par le président Trump n’ont pas tardé: la Russie mais aussi la Turquie ont condamné cette reconnaissance.
Mais une fois de plus, l’Europe a choisi d’être du mauvais côté de l’Histoire et d’amener les mêmes arguments que la centrale terroriste de l’Autorité Palestinienne.
Des hauts responsables de l’Union européenne ont tout de suite fait part de leur “vive inquiétude” et sans rire, ont averti que cette reconnaissance unilatérale pourrait amener…de l’instablité dans cette zone, qui comme tout le monde le sait vit dans un calme paradisiaque depuis sept ans. Un diplomate européen a déclaré à Maariv:
“Cette décision ne contribue pas à la paix. Je ne pense pas que cette reconnaissance changera beaucoup de choses sur le court terme, mais cela peut sans aucun doute provoquer une escalade à la frontière israélo-syrienne. Pour l’instant il n’y a pas d’échanges réguliers de tirs sur cette frontière, mais cette annonce pourrait pousser le terrain vers la violence”.
Même son de cloche chez Saeb Erekat, l’un des édiles de l’OLP, qui reprend la phraséologie de circonstance: “Hier, c’était Jérusalem, aujourd’hui le Golan. Donald Trump croit que pour assurer la stabilité et la sécurité, le Golan doit être sous contrôle israélien. Ce qui se passera en fait, c’est de l’instabilité et des bains de sang dans notre région”. Il en connaît quelque chose…
Photo Serge Attal / Flash 90
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