Il est difficile à beaucoup de personnes d’étaler ses sentiments. Certains le font et ce n’est que bravoure d’autres n’osent pas le faire et ce n’est que pudeur.
Vous avez pu lire dans certains de mes récits, réflexions et autres, la facilité que j’ai à étaler mes sentiments en général bons. Lorsqu’ils sont mauvais c’est une REVOLTE. Un cri de douleur.
Il y a ici des poètes, de véritables poètes, des peintres des artistes qui expriment le meilleur d’eux même sans complexes et cela sied à leur caractère. Ils ne se cachent pas de ce qu’ils sont et nous n’avons aucun droit de juger sauf d’apprécier et de leur rendre honneur. Ceux là sont des DIEUX de l’écriture, du bel art. Je les aime.
Personnellement, je n’éprouve aucune gêne à m’étaler, j’en aurai eu si je me taisais. Chez le moi, le sentiment n’est pas prisonnier de mon cœur au contraire, il est libre. Sans citer de noms d’internautes d’ici, je les congratule d’offrir à notre connaissance leur état d’âme du moment et j’ai comme l’impression qu’en parler soulage. Ils elles ont bien raison. Et j’approuve le ressentir.
Si ailleurs, certains crient, hurlent leur haine, ceux là sont touché non par la grâce mais par le diable qui habite en eux. L’homme ou la femme n’est pas diable mais il le devient en côtoyant ceux qui sont larvés par celui là. La politique n’est jamais faite d’amour. Elle est le contraire de l’amour l’anti amour.
Eloignez vous en parce qu’elle vous catalogue en tant que personne partisane.
Que tu te nommes SANDY, ISA, MICHOU, SYLVANA, EDEN, SALWA PEPPINO ou PEPERMINT etc…. Tu as tous mes sentiments d’amour fraternels.
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