Sur la place JULES RIGAUT alors que le nombre de manifestants à presque doublé soit 1200 000 personnes et que les CRS sont à bout de nerfs, un long hurlement d’effroi se fait entendre.
Un hurlement si affreux qu’il se transforme en un gros nuage gris qui enveloppe tout le ciel brumeux de Paris.
La foule est sous le choc et tend l’oreille.
Un dénommé Somelier lance un
‘…Ca vient de là bas… !’
Tous les regards se tendent vers le là bas.
Monsieur RIGAUD décide de fermer la brasserie.
La foule se dirige vers ce hurlement dont l’écho parait être suspendu au dessus de leur tête.
La foule marche, longue et silencieuse.
Elle traverse la place Jules Rigaud, monte la rue de BATIFOLLES, coupe par la rue ANISTIDE, se retrouve à la PASTILLE, contourne le PONT TMENIC, débouche sur le rond point des PETITES SŒURS DE LA TRINITÉ, coupe à travers l’impasse des GIBOULES, fonce vers NOTRE DAME DES CARRIÈRES,
S’arrête au feu rouge du BD DE LA CHATTE BLANCHE, laisse passer les chattons, longe la muraille des SANS PIEDS, et enfin se retrouve devant une grande bâtisse, 36 RUE DES HUGUENOTS.
Alain RIGAUT est à la tête du cortège.
‘…C’est ici que le hurlement est parti… !’ Dit t’il d’une voix assurée.
Il est MINUIT.
Une porte parait mal fermée.
‘…Laissez moi passer devant et ensuite à mon signal vous me suivrez… !’
En haut, un jeune homme est tout en sueur. Il est assis sur son lit.
Sa sœur est toute paniquée.
‘…Attend, ye omri, je te fais un peu de MAZAR sur le front… !’ Daisy.
Toute la chambre sent la fleur d’oranger.
Il boit deux litres.
‘…Tu as les pieds gelés, attend je te fais lobkha bsal ou melh… !’ Un cataplasme d’oignons et de sel.)
Toute la chambre sent le mazar, l’oignon et le sel.
‘…Tiens bois un bon verre de HELBA… !’( Fenugrec.)
Toute la chambre sent le mazar, l’oignon, le sel et la funégrec et l’odeur passe dans le palier.
Lui.
‘…HEU…HEU…HEU…HEU…HEU… !’
‘…Tiens un peu d’eau de fleur de ROSE pour atténuer ton angoisse. .. !’
Toute la chambre sent le mazar, l’oignon, le sel, la fenugrec, la fleur de rose et l’odeur passe dans le palier et envahit la cage d’escalier.
‘…HEU..HEU..HEU…HEU… !’
‘…Kobarra ââla khoyé, que je parte en sacrifice pour mon frère, ils l’ont prit de l’œil...!'
Elle va dans le frigo et accroche un gros loup à la porte.
Toute la chambre sent le mazar, l’oignon, le sel, la fenugrec, la fleur de rose, le poisson et l’odeur passe dans le palier et envahit la cage d’escalier et se retrouve dans la rue, tout le quartier sent les bonnes effluves et même que l’arrondissement du 21 iéme pue comme pas possible.
Enfin, le RIGAUT avec beaucoup de courage monte la première marche.
Il est suivi par la troupe soit 1200 000 personnes debout sur une volée d’escaliers qui ne supporte que DIX personnes mais comme il y a des MIRACLES, elle supporte.
RIGAUT avec de multiples précautions voit par la porte de l’appartement entre-ouvert, JO LE CATTANAIS, le recherché par toutes les polices de France et sa sœur DAISY assise au bord du lit.
‘…On ne vous dérange pas… ?’ RIGAUT par sa voix douce de bon français.
‘…Non, pas du tout, entrez… !’
Toute la smala rentre dans la pièce soit 1 200 000 dans une pièce aussi étriquée qu’un c….de gazelle.
‘…Je vous offre à boire… ?’ Elle.
‘…Non, surtout pas ne vous dérangez pas… !’
‘…Il a eu un cauchemar, un vrai cauchemar, il a rêvé que FACE BOOK l’a supprimé et que toutes les polices de France le cherchait… !’
‘…Et maintenant, il va mieux… ?’
‘…Oui mais qu’est ce QU’IL A LUIIIIIIIIIIIIIIII MON FRERE….HEEEEEINNNN… !’
‘…Non, c’est que j’ai perdu une fortune pour sa recherche et même que l’état vient de m’allouer un BUDGET pour construire un BUILDING… !’
‘…Il pourra garer ses patins à roulettes… ?’
‘…Oui bien sur, et même SES CONNERIES GRATUITEMENT….!’
‘…On peut l’embrasser… ?’ Alain
1 200 000 lui font la bise, ca a prit deux ans.
Ainsi se termine ce délire, CE SAC DE BLÉ TROUeE QUI A DONNE QQS RIRES.
SALUT GG LE CATTANAIS…L HOMME AU MASQUE DE…FANTOMAS.
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